Si vous avez l’intention de vendre des produits grâce aux droits de revente, évitez de faire ces erreurs !
Faites-vous ces erreurs avec les droits de revente
Vendre les droits de revente à trop de personnes différentes
Même si l’idée de vendre un droit de revente à des milliers de clients peut vous paraître rentable, ce n’est pas forcément une bonne idée.
En effet vos prospects seront peut-être réticents, car ils ne voudront pas acheter un produit à trop forte concurrence.
Le risque est de saturer le marché quelques jours seulement après la sortie de votre produit. Les revendeurs expérimentés, possédant une bonne connaissance du marché, savent à quel point cette erreur est grave.
Il est conseillé de fixer une limite en nombre de produits avec droit de revente vendus à vos clients. Vous verrez généralement sur les sites: ce produit est seulement disponible aux 500 premières personnes. Vous pouvez fixer une limite plus basse, pour éviter de dévaluer votre produit. Une limite fixée à 100 ou 50 packs est donc déjà plus réaliste. Si vous vendez tous vos packs au prix de 50 €, cela fait une belle somme sur votre compte en banque et vos clients seront contents puisque la concurrence est limitée.
Le prix n’est pas adapté à votre produit
Fixer le prix d’un produit est toujours délicat, surtout avec les droits de revente.
Voici quelques indicateurs qui permettent de moduler le prix de votre droit de revente:
• Pour un e-book, le nombre de pages est une donnée importante
• La qualité du design
• La page de vente est-elle fournie ? (page de vente, page de téléchargement, etc…)
• Des outils promotionnels sont-ils proposée ? (bannières, articles, emails, vidéo promotionnelle, etc…)
• Le nombre d’exemplaire mis en vente
• Le type de droit de revente proposé: droit de revente simple, droit de revente maitre, droit de label privé
Pour fixer votre prix, le mieux est de réaliser des test de prix. Suivant la réaction de vos prospects et les remarques de vos clients, vous pourrez ajuster le prix pour une prochaine offre.
Bien amicalement,
Bernard Lamonnier